

poète x auteur x interprète
poète x auteur x interprète


Content de publier un poème inédit dans ce drôle de petit objet
Revue Courrier indésirable #4 (août 2025)


Au sommaire de 15 – Service d’Aide aux Mots Universels
Anthologie établie par Bruno Doucey & Ariane Lefauconnier, aux éditions Bruno Doucey
En librairie le 7 Février 2025
115 poètes à retrouver dans l’anthologie
Pages : 296
Prix : 22,00€
ISBN : 978-2-36229-519-5
Infos et sommaire : www.editions-brunodoucey.com

Je participe avec deux poèmes inédits à l’anthologie Filles bouchères & Garçons bouchers, anthologie de poésie délicate pour lecteurs carnivores et végétariens établie par Antoine Gallardo pour les dix ans des éditions.


COMMANDER > placedeslibraires.fr
Tirage : 1000 exemplaires
Nombre de pages : 102
I.S.B.N. : 979-10-96861-19-4
Format fermé : 110 x 170 mm
Façonnage : Dos carré collé
Impression : Numérique
Prix public : 20 €
http://laboucherielitteraire.eklablog.fr
Un nouveau poème REMERCIE TA TÊTE vient de paraître dans l’anthologie INCARNER, 30 POÈMES POUR DIRE LE CORPS aux éditions La Chouette Imprévue (5€ sur www.lachouetteimprevue.com/)
Il est issu de l’édition 2024 du SERVEUR VOCAL POETIQUE projet réalisé par Julien Bucci et la compagnie Home Théâtre. + Infos ➝ www.hometheatre.fr
30 autrices et auteurs ont écrit 30 poèmes à écouter jour et nuit sur deux lignes téléphoniques gratuites :
– le 03.74.09.03.00 depuis la 🇫🇷
– le 02.315.44.44 depuis la 🇧🇪
Mon texte REMERCIE TA TÊTE est à écouter tiroir 1 / touche 6.
Cette nouvelle version du Serveur Vocal Poétique, marrainée par Lisette Lombé comprend des poèmes de Johan Grzelczyk, Cécile Coulon, Victor Malzac, Orianne Papin, Anna Serra, Selim-a Atallah Chettaoui, Emanuel Campo, Ramiro Oviedo, Cartographie Messyl, Murièle Modély, Rim Battal, Christophe Dekerpel, Coline Marescaux, Perrine Le Querrec, Lisette Lombé, Camille Bloomfield, Zoé Besmond de Senneville, Lucien Brelok, Emilie Gévart, Sébastien Kwiek, Jérémie Tholomé, Kiyémis, Florentine Rey, Theo J. Mayer, Mélanie Leblanc, Laurence Vielle, Julien Bucci, Charles Pennequin, Julia Nobbio, Ananda Brizzi
…lus par les auteurs.trices et par Carole Le Sone, Ann Gisel Glass, Julien Bucci, Violette Blanckaert, Elodie Laurent, Léna Tournier Bernard et Eric Ruf, de la Comédie Française.
Un poème inédit paraît dans la nouvelle anthologie Grâce… Livre des heures poétiques aux éditions Bruno Doucey. Je tiens à remercier Thierry Renard et Bruno Doucey de m’avoir invité à participer à cette anthologie. J’y publie un texte écrit il y a deux ans, extrait de ce qui deviendra peut-être un futur livre: Maison 2.
Infos et commande ici.
118 poètes et poétesses.
Pages : 272. Prix : 20,00€.
ISBN : 978-2-36229-464-8



« Il y a eux,
ceux qui ne sont jamais allés en foyerceux qui ne sont jamais allés en prisonet il y a nous. »
Pas là pour fondre, ouvrage collectif dirigé par Marion Chobert et Emanuel Campo
Entre août et octobre 2021, Marion Chobert, metteuse en scène, et Emanuel Campo, auteur et interprète, ont rencontré des jeunes du Quartier Mineurs et du Quartier Femme de la Maison d’Arrêt de Dijon.
Pas là pour fondre rassemble des textes et prises de paroles de ces adolescents et adolescentes incarcérés. Certains textes ont été écrits par les jeunes eux-mêmes, d’autres sont des paroles retranscrites à l’occasion d’entretiens individuels ou à plusieurs. Comme point de départ, la cicatrice.
Un projet Compagnie Esquimots mené en partenariat avec la Protection Judiciaire pour la Jeunesse, la DRAC Bourgogne-Franche-Comté dans le cadre de l’appel à projet Actions Culturelles et Langue Française.
Mise en page du livret : Elsa Moreau pour l’association De Bas Étages.
Site de la Compagnie Esquimots www.compagniesquimots.com
Ce livre rassemble des poèmes écrits lors d’événements politiques, politisés ou lors de formalités de la vie quotidienne ou citoyenne. On y trouve une succession d’humeurs ou de situations traduisant le déroutement face à l’actualité, l’absurdité des rouages administratifs, et la manière dont on y fait face : démobilisation, cynisme, incompréhension, réflexion…
40 pages
Prix : 10 €
Format : 110 x 170 mm
QUELQUES DATES AUTOUR DU LIVRE
LECTURE-CONCERT – samedi 16 octobre, festival MidiMinuitPoésie, au Lieu Unique à Nantes
Je lirai des extraits de Ligne de Défense et de mes précédents recueils lors du festival MidiMinuitPoésie au Lieu Unique à Nantes, accompagné pour l’occasion du batteur Éric Pifeteau (The Little Rabbits, French Cowboy, Philippe Katerine…)
SIGNATURE – samedi 23 octobre, Marché de la Poésie de Paris
Je serai en signature sur le stand de la Boucherie Littéraire lors du Marché de la poésie Place Saint-Sulpice (Paris 6e) le samedi 23 octobre en début d’après-midi.






Joie de vous annoncer la publication en ligne par la revue FUSHA, revue culturelle palestinienne, d’une page à propos de mon travail d’écriture réalisée par le poète Anas Alaili. Anas y tient une rubrique consacrée à la poésie francophone. Il s’agit ici d’un article concernant mon parcours, suivi de sa traduction en arabe de 5 de mes poèmes : 2 inédits et 3 extraits de mon recueil Maison. Poésies domestiques paru aux Éditions la Boucherie littéraire. Merci Anas Alaili pour ton invitation et ton investissement dans ces traductions. Anas est l’auteur de deux formidables recueils que j’aime beaucoup : Avec une petite différence, Polder 142, éd. Décharge et Gros Textes, 2009 (dedans, il y a notamment un de mes poèmes favoris « la brosse à dent ») ; ainsi que Étreintes tardives chez l’Harmanttan, 2016. Les deux livres sont traduits en français par Mohammed El Amraoui, un autre super poète.

أنس، شكراً جزيلاً لك على كتابة هذه المقالة.
Suivre Anas Alaili sur Facebook
Un grand merci au magazine en ligne PointBreak.fr de publier mon nouveau texte inédit :
un feuilleton poétique en trois épisodes intitulé « À la base je voulais juste jouer de la trompette » qui raconte comment un enfant de huit ans se retrouve à chanter dans la chorale du conservatoire de sa ville alors qu’à la base il rêvait juste d’être Miles Davis.
Chaque semaine, un nouvel épisode.
Bonne lecture.
http://pointbreak.fr/manu-campo-trompette/
Mon recueil Faut bien manger publié aux éditions la Boucherie littéraire figure dans la sélection des titres en lice pour le Prix des Découvreurs. Le jury est constitué de plusieurs centaines de lycéens et de collégiens de différents établissements volontaires de l’ensemble des académies de France. Alors forcément, je suis très heureux d’être associé à cette action. Tous ces ados qui vont lire ces livres de poésie contemporaine, c’est formidable. J’ai hâte de les rencontrer. Je remercie Georges Guillain et l’équipe des Découvreurs. Je remercie aussi mon éditeur Antoine Gallardo pour son engagement dans la conception de ce livre.
Alors si vous souhaitez qu’une classe de votre lycée ou collège devienne jury d’un prix de poésie, n’hésitez pas à contacter les Découvreurs. Un cahier est conçu sur chaque livre de la sélection pour aider les professeurs à concevoir un projet d’éducation artistique et culturel, et accueillir, s’ils le souhaitent, un.e des poètes.ses de la sélection.
>> le cahier réalisé sur Faut bien manger < <
> > édito de Georges Guillain concernant la sélection 2020-2021 < <


Je participe à Bologna in Lettere 2020, festival italien de poésie en ligne. 158 auteurs de 21 pays.
Je donne trois lectures dans le cadre de l’International Poetry Review :
8 mai à 22h
17 mai à 10h
25 mai à 22h
Je lis
– un poème de Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait, éd. Gros Textes,
– un autre de Maison. Poésies domestiques, éd. la Boucherie littéraire,
– un dernier publié dans le n° 3 de la revue lyonnaise La Terrasse.
Les poèmes sont traduits en italien par mon camarade Domenico Brancale. Merci à lui. Et merci à Enzo Campi de me faire une place dans la programmation.
www.bolognainlettere.it
https://www.instagram.com/bolognainlettere
https://www.facebook.com/Bologna-in-Lettere-2020-il-festival-on-line-113893960282583
Mon premier recueil « Maison. Poésies domestiques » publié en décembre 2015 au éditions la Boucherie littéraire vient de connaître son quatrième tirage.
Après deux premiers tirages puis une réédition revue et augmentée dans l’année de sa sortie, je suis heureux de l’accueil que suscite toujours ce livre. 4 ans, 4 tirages !
Je remercie l’éditeur Antoine Gallardo pour son travail, et à son distributeur Seren Dip. Merci aux libraires et bibliothécaires qui défendent ce livre, aux chroniqueurs et journalistes qui ont relayé sa sortie, merci aux festivals qui m’ont invité à lire.
Merci aux amis et à mes proches qui soutiennent mes projets et offrent mes livres à leur entourage, merci aux artistes avec qui j’ai eu la chance de collaborer, merci aux lecteurs, et aux revues de poésie.




Tempêtes dans un verre d’eau
ouvrage collectif, collection Impasse de la source, Crest, juillet 2019, 12 €.
Le mot des éditeurs :
« Trois Petites Truites Editions sont nées d’un geyser. L’idée nous est apparue alors que nous nous prélassions au bord de la rivière Drôme, observant les remous provoqués par le Mouvement Truite et stimulées par l’engouement provoqué par le manifeste et ses évocations. Nous avons saisi l’élan pour en faire une littérature. Trois Petites Truites Éditions, c’est un projet à contre-courant. L’envie d’inscrire dans le temps, la fougue de l’an deux-mille-dix-truite, l’appréhension du quotidien en faisant douze pas de tous les côtés et même en haut et même en bas. Libérer les plumes et poser la poésie cueillie. Et réunir ces impulsions, ces regards décalés, dans de petits ouvrages artisanaux. »
Manifeste du mouvement Truite
Site de l’éditeur
FaceBook
troispetitestruites@gmail.com
Merci à Jean-Pascal Dubost pour sa critique de Faut bien manger publiée dernièrement sur Poezibao. Article à lire ici dans son intégralité.
Emanuel Campo, Faut bien manger, La Boucherie Littéraire
Le titre est une expression parlée, familière, une de celle de la vie courante qui nous amène souvent à tronquer les phrases par rapidité linguistique et pour répondre à la vie vite. Se dit « faut bien manger » par désabusement las et par excuse de ne pouvoir autrement faire. Emanuel Campo, en assez droite hoirie du réalisme carvérien (revendiquée : « Une fois de plus, la lecture/d’un poème de Raymond Carver m’inspire/un recueil entier »), Emanuel Campo a choisi, au contraire cependant de l’auteur des Vitamines du bonheur, a choisi d’en rire jaune par les voies du sarcasme teinté d’auto-dérision, en cela héritant de Richard Brautigan, mais l’absurde anamorphique en moins. Toute situation peut générer une pensée-poème satirique chez ce poète à la fois désinvolte et impertinent, qui laisse aller et parler ses pensées comme elles viennent en les coupant en vers. Cette poésie relève du spoken word, pratique spontanément orale et urbaine de la poésie dans laquelle Emanuel Campo exerce ses talents, avec le courage de ne pas faire dans la dentelle, de n’épargner personne et ne pas verser dans la séduction :C’est quand j’ai vu
la vieille dame éternuer
au-dessus du buffet
à volonté
que je m’suis dit
« T’as raison. On aurait dû se faire un kebab. »Profitant de saynettes de la vie quotidienne, il fait rythme, car les poèmes ne sont pas simples transcriptions des observations, et cela est ce qui préserve les poèmes de la banale banalité d’être simplement banals et sans aucune envergure. […] On imagine fort bien certains des longs et très longs poèmes dits sur scène, micro à la main, comme apparemment improvisés, dits de mémoire et en dansant, comme le fait si excellement John Giorno. Emanuel Campo est de cette veine, moins « humaniste » que le géant américain. Il prend cependant le risque de déplaire, ce qu’on attend quelques-fois des poètes, dans leur liberté de parole affranchie du politiquement et socialement correct des temps d’huy. Jean-Pascal Dubost.
Patrice Maltaverne, poète, éditeur au Citron Gare, animateur de la revue Traction-Brabant et bloggeur-passeur de poésie, a lu mon recueil Faut bien manger aux éditions la Boucherie littétraire. Sur son très recommandé blog Poésiechroniquetamalle il écrit ceci :
Deuxième recueil publié par Emanuel Campo aux Éditions de « la Boucherie littéraire », dans la collection « Sous le billot », « Faut bien manger », d’Emanuel Campo parle des conditions de vie contemporaine dans la ville, lieu de tous les travaux (j’avais envie d’écrire « travails ») immatériels, rémunérés ou pas.J’ai éprouvé du plaisir à lire ce livre, car j’y retrouve l’humour de son auteur qui s’emploie à tourner en dérision des choses pas forcément marrantes, comme par exemple le manque d’argent, la laideur du paysage urbain, les choses qu’on s’oblige ou qu’on nous oblige à faire pour gagner sa vie.
Bref, un texte résolument actuel (pas évident en poésie).J’y retrouve également cette désinvolture dans l’écriture, ce j’men foutisme apparent qui, peut-être ou peut-être pas, dissimule de plus fines blessures.Chaque poème de « Faut bien manger » me semble être un tout, une île qui se déplace dans une même constellation thématique. Les poèmes sont assez nettement aussi tournés vers l’oralité, voire, vers la performance, ce qui rafraîchit l’écriture poétique, l’assouplit.Si « Faut bien manger » se compose de tableaux (ou de scènes) différentes, ces tableaux sont musicaux et impliquent un changement de décor (comme dans un ballet).
Retrouvez l’article complet avec un extrait choisit ici.
Merci à Jean-Paul Gavard-Perret de suivre mon travail et d’avoir écrit un article sur mon nouveau recueil Faut bien manger aux éditions la boucherie littéraire pour le compte de lelitteraire.com
Emanuel Campo, Faut bien manger
Le fil à la pâte
Emanuel Campo fait du poème minute son sport de combat, sa religion (athée) afin de détruire la bêtise et se perdre dans la folie à la base de toute connaissance de soi et des autres comme de toute communication interpersonnelle dont il fait son métier afin de gagner sa vie. Le poète partage avec ses potes ses doutes, ses peur et ses pâtes. Preuve que se battre pour manger est une nécessité vitale : il est aussi important de battre le briquet pendant qu’il est chaud afin de manger cuites les Lustucru.
Ici, sur l’étal de la poésie, l’auteur nous livre des morceaux de son journal intime par fragments, sauts et mésaventures. Il ne cherche ni la bravoure, ni la pose. Mais plutôt le zéro de conduite. Figurant dans un film, il est obligé de s’étendre au pied d’un arbre où il venait d’uriner. Déceptif, préférant au kebab un buffet volonté, il ne peut que constater les éternuements répétés d’une vieille dame sur la boustifaille.La vie est donc saisie au ras du réel non dans un musée de cire mais de circonstances. Quitte parfois à les minuter seconde par seconde lors d’une lecture publique d’un de ses textes (écrit, avoue-t-il, en plagiant Ghérasim Lucas — mais c’est sans doute moins véridique que pour faire un mot d’esprit à son corps dépendant).
Campo prouve que l’existence est rarement du Shakespeare sauf lorsque l’Anglais dérive dans ses facéties. Mais le poète lyonnais est ici ce qu’il est dans la vie dite active : bateleur que “les metteurs en scènes fascinent” car “ils invitent les publics à réfléchir avec eux”. Ce qui semble pour le moins outrancier sauf à vivre toute l’années les 15 premiers jours de Juillet en Avignon. Du moins à ce qu’on dit, le lecteur de ces lignes n’y foutant jamais les pieds.Mais l’auteur peut largement prendre son cas pour une généralité comme par exemple lorsqu’il parle “du métier” sans avoir forcément expliciter lequel ou lorsque son corps (j’entends à l’intérieur) est analysé sans parcimonie. Il s’agit alors d’en souligner les avanies et framboises là où ça se bouche, suinte, miaule, sue, gonfle, gicle, jaillit et j’en passe.
Mais quoi de plus roboratif. D’autant que choisir d’être publié “sur le billot” (titre de la collection) de la Boucherie Littéraire demande nécessairement de la tripe. L’auteur en possède et la sert avec des spaghetti qui, comme le plus simple des repas, mérite pour être réussi une bonne pâte. Alors qui donc sinon Campo haut roi (1,83 m) de la sauce tomate et de la salsa ?jean-paul gavard-perret
Merci à Patrick Joquel, toujours attentif et partageur, qui signe la première note de lecture consacrée à mon nouveau recueil aux éditions la Boucherie littéraire Faut bien manger. Article publié sur son site.
Emanuel Campo, second livre à la Boucherie Littéraire (le précédent : Maison. Poésies domestiques) et tout aussi surprenant. Un livre plein de surprises, de vitalité, de rebonds. Un livre joyeux. Des poèmes à dire à haute voix, normal pour un auteur qui aime la scène. J’espère bien le voir et l’entendre un de ces jours d’ailleurs…
On est à Lyon dans ce livre et la ville vit sa vie de ville tandis que je
retourne à mon travail
qui sans effort
s’abat sur moiDans ce lieu de travail on croise des cadres, jeunes et dynamiques, bien affutés pour défendre leur beefsteak même au détriment des autres ou d’eux-mêmes. Des cadres bien en corps et tout en harmonie avec leurs besoins vitaux. Des travailleurs en prise aux soucis quotidiens : transport, trajet, chronomètre et la peur de manquer d’argent…
Et alors ? Tu mangeras des pâtes. C’est bon les pâtes !et on y croise l’artiste, le poète. Un être moqueur. Moqueur de lui-même, moqueur des autres et du système qui les met en scène, souvent de maigres publics…
Un livre salutaire, qui claque au vent et qui ouvre de nouveaux chemins à cette exploratrice du langage et de l’humain qu’est la poésie.
http://www.patrick-joquel.com/

Les éditions la Boucherie littéraire ont remis le couvert. Je remercie Antoine Gallardo pour son travail. Merci à lui de continuer à publier le mien.
Mon recueil Faut bien manger est disponible dans toutes les librairies de France, de Suisse et de Belgique depuis le vendredi 1er mars 2019.
S’il n’est pas en rayon, commandez-le auprès de votre libraire. Il est à vous, Go!

La quatrième de couverture de Faut bien manger se déguste déjà.

Yves Artufel des éditions Gros Textes m’a invité à participer au nouveau numéro de la revue Gros Textes. Revue à lire en version numérique ci-dessus et à commander pour obtenir sa version papier. Vous y trouverez un poème inédit à propos d’un souvenir sur une place emblématique du quartier de la Guillotière à Lyon. Yves nous permet aussi d’inviter quelqu’un à partager des pages. C’est tout naturellement que j’ai glissé quelques textes d’un ami dont j’estime beaucoup le travail et que certains auront déjà lu dans Realpoetik ou entendu sur la scène du cabaret poétique de Lyon. Je vous laisse parcourir les pages ci-dessus pour découvrir ses poèmes exquis.



Agréable surprise de voir mon dernier recueil Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait publié cet été aux éditions Gros Textes, dans la sélection de Noël de l’accueillante librairie la Virevolte (Saint-Paul, Lyon 5).
Allez y faire un tour, son rayon poésie est plein d’aujourd’hui. Sophie et Olivier sauront vous conseiller. Le reste de la sélection de Noël ici.
Merci à eux de suivre mon travail.
Librairie La Virevolte
4 rue Octavio Mey
Lyon 69005
France



« Ce que nous avons atteint fut énorme tout de même, ce que nous avons atteint ce sont nos limites, ou, tout au moins, les limites que suggérait le ton de cette revue, et je suis content que vous les ayez atteintes dans Revue Métèque. Je sais que le dernier opus ne sera pas inférieur aux plus anciens, c’est donc ce que nous pouvons faire de mieux, de plus digne. Donner le peu et le mieux, jusqu’au bout. »
Ces lignes terminent l’édito que Jean-François Dalle a écrit pour ouvrir l’ultime numéro de la Revue Métèque (à lire en entier ici). Le numéro 7 sera le dernier donc, et son thème est « les nippes ».

On retrouve un sommaire familier chez Métèque.

Il s’agit du second numéro de Métèque auquel je participe. Texte inédit.
Ce numéro coûte 12 €. On peut se le procurer ici. 98 pages de poésie, de photographies, de textes en prose… À découvrir si vous ne connaissez pas cette revue unique. À lire pour connaître la fin de la série.
Le très réactif Patrice Maltaverne publie une chronique consacrée à Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait sur son blog Poésie chronique ta malle (véritable mine consacrée à l’édition de poésie). Il s’agit du premier article à propos de mon nouveau recueil sorti en juillet aux éditions Gros Textes. Merci à lui de suivre mon travail avec attention.
Retrouver ici, l’article original. Extrait :
Quand j’ai commencé à lire « Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait », deuxième recueil d’Emanuel Campo, publié par les Éditions Gros Textes, je me suis d’abord demandé si je lisais une suite de phrases sans rapport les unes avec les autres, ou bien, un récit en pièces détachées.Ah ! Toujours cette envie de classification, alors que c’est le texte qui devrait seul compter.Confirmation faite au fil des pages, et dans la postface de Grégoire Damon, c’est bien de fragments qu’il s’agit ici. Sauf que deux ou trois fois, les fragments s’étirent sur plus d’une page.Il y a des pépites là-dedans, aucun doute là-dessus. Souvent, des jeux de mots, avec dans une expression déjà connue par ailleurs, un changement de mot qui change la saveur des mots. Par exemple, dans « une personne à mobylette réduite ».De manière générale, j’ai beaucoup aimé ce regard affiné jeté sur notre monde actuel. C’est bien de lui qu’il s’agit, ici. Car pas facile, hein, d’en parler, tellement la vie des villes l’a rendu divers et sans conséquences. Quelque chose de très nul, en tout cas, quelque chose dont on voudrait toujours avoir la clé, alors qu’elle n’existe pas. Ou bien, avec sa clé, on ouvre une seule petite porte, bien insignifiante. Déjà mieux que rien, me direz-vous.Et puis d’abord, pas la peine d’en mettre des tartines sur un monde qui s’oublie vite.C’est ce que montre Emanuel Campo, dans « Puis tu googlas le sens du vent pours avoir d’où il venait » (un de ses fragments qui donne le titre au recueil, ça c’est du titre !).
Si vous souhaitez en savoir plus sur « Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait », d’Emanuel Campo, qui est vendu au prix de 6 €, rendez-vous sur le site de l’éditeur: https://grostextes.fr/publication/puis-tu-googlas-le-sens-du-vent/

Des premières ébauches à l’illustration finale de Mathilde Campo.
– – – – – –
Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait de Emanuel Campo, 2018
Postface de Grégoire Damon
ISBN : 978-2-35082-376-8
56 pages au format 10 x 15,
6 € (+ 1 € de forfait port – quel que soit le nombre d’exemplaires commandés)
Pour obtenir votre exemplaire, veuillez adresser votre commande à
Gros Textes
Fontfourane
05380 Châteauroux-les-Alpes
(Chèques à l’ordre de Gros Textes)
Le site de l’éditeur : https://sites.google.com/