Un matin d’hiver
brumeux
comme du froid qu’on vaporise.
Se voir marcher dehors
frissonnant
avec sur la tête
une marmite
d’eau bouillante
qu’on rêverait de se verser dessus.
La vitesse foudroyante du café.
_ _
E.C. 2016
blog d'emanuel campo. poésie | scène | musique
Un matin d’hiver
brumeux
comme du froid qu’on vaporise.
Se voir marcher dehors
frissonnant
avec sur la tête
une marmite
d’eau bouillante
qu’on rêverait de se verser dessus.
La vitesse foudroyante du café.
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E.C. 2016