événement Facebook
annonce Rue89Lyon
Adresse :
La Voie aux Chapitres
4 rue Saint Jérôme
69007 Lyon.
Métro : Saxe-Gambetta ou Jean Macé
Lignes C4, C12, C14 Arrêt Thibaudière
auteur || poésie - scène - musique || SITE ACTUELLEMENT EN CONSTRUCTION
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Mon recueil « Faut bien manger » sort le vendredi 1er mars aux saignantes éditions la Boucherie littéraire.
Voici les premières dates où je présenterai le livre en librairie.
28/02, Nice : Avant-première à la librairie les Journées Suspendues. Événement Facebook.
12/04, Romans-sur-Isère : librairie des Cordeliers, avec Claire Rengade.
23/05, Lyon : à domicile chez la fidèle librairie la Virevolte.
11/06, Valence : librairie l’Étincelle, avec Marlène Tissot.
Plusieurs pages pour rentrer dans l’univers d’un auteur…
Joie de se retrouver dans ce casting…
Revue cousue et brûlée à la main…
Belles illustrations d’Alissa Thor…
Je suis bien content d’être dans cette revue tenue par Fabien Drouet
8e (+4e de frais de port) à commander à revuelaterrasse@gmail.com
Page Facebook de la revue
Quel lien entre sport et poésie? « aucun » nous direz-vous.
Or, la poésie est là pour créer des liens entre les continents souvent opposés ou supposés comme tels.Sport et poésie. Ces deux univers, de prime abord, semblent éloignés. Mais pas tant que ça, si on s’y penche un peu. Quels liens peuvent exister entre sport et poésie ? La poésie, est-ce un sport de combat et de résistance ? Le sport, est-ce une expérience créative du corps en mouvement ?
Et voilà que le nouveau numéro de la revue Bacchanales vient de sortir — tout beau, tout chaud…
53 poètes, 53 voix fortes, singulières, musclées, sobres et lumineuses – ont répondu présents.
avec la complicité de l’artiste Cécile BEAUPÈRE
http://cecile-beaupere.odavia.com/
Au sommaire : Dominique Sorrente, Bernard Chambaz, Claude Ber, Franck Venaille, Sophie Berckelaers, Marc-Henri Arfreux, Simon Attia, Brigitte Baumié, Lionel Bourg, Vincent Calvet, Emanuel Campo, Fanny Chiarello, Antoine Choplin, Sandrine Cnudde, Bruno Danjoux, Aurélien Delsaux, Jean-Luc Despax, Milan Dezinsky (République tchèque), Irina Dopont, Rolf Doppenberg (Suisse), François-Xavier Farine, Jean-Marc Flahaut, Jack Forbes (États-Unis), Gérard Gâcon, Sylvie Gier, Jacques Goorma, Fred Griot, Catherine Jarett, Cathy KO, Lionel Lathuille, Mélanie Leblanc, Claudie Lenzi, Cédric Lerible, Monique Lucchini, Mohamed Mahiout, Patrice Maltaverne, France Mongeau (Canada, Québec), Justine Murray, Roland Nadaus, Samira Negrouche (Algérie), Diane Regimbald (Canada, Québec), Thierry Renard, Florentine Rey, Patrick Sirot, Olina Stehlikova (République tchèque), Robert Sullivan (Nouvelle-Zélande), Apirana Taylor (Nouvelle-Zélande), Antonio Te Maioha (Nouvelle Zélande), Laura Tirandaz, Marlène Tissot, Michel Thion, Georgiana Valoyce-Sanchez (États-Unis), Joël Vernet.
Commander la revue :
https://www.maisondelapoesierhonealpes.com/edi…/bacchanales/
Un jour, j’ai pas dormi de la nuit,
j’ai relu.
Pour reprendre le premier vers d’une série de poème que Marlène Tissot publie sur son blog. Ma colocataire au sein des éditions la Boucherie littéraire a publié son dernier livre Lame de fond. Un livre de proses que je considère comme un copain de voyage.
Un extrait :
« Je voudrais écrire mieux. T’écrire avec assez de légèreté planquée sous le masque rigide de la syntaxe pour que l’histoire soit tissée d’autre chose que de mots, pour que tu puisses me lire même si tu n’es plus là. Je voudrais t’écrire mieux et ne surtout pas faire de toi un mythe, un monstre, un banal héros de fiction. Écrire comme on souffle sur les braises. »
Les livres de la Boucherie littéraire se trouvent ou se commandent en librairie.
Le magazine en ligne La Cause littéraire consacre deux articles aux éditions la Boucherie littéraire.
Le premier est un entretien avec mon éditeur Antoine Gallardo, à lire ici. Le second chronique les quatre recueils publiés jusqu’à aujourd’hui dans la collection Sur le billot de la Boucherie littéraire. Voici ce que l’auteur de l’article Philippe Chauché (journaliste à Radio France et chroniqueur à la Cause littéraire) écrit sur mon recueil Maison :
Emanuel Campo ne manque ni d’audace, ni de culot, il écrit comme s’il chantait, et d’ailleurs, il chante. Ses petites poésies résonnent comme des chansonnettes, d’enfance et de son âge, l’une donnant naissance à l’autre, des ritournelles. Ces Poésies domestiques misent sur la collection, la multiplication, la rencontre, la surprise, les mots qui se rencontrent pour la première fois ont souvent l’air surpris. L’auteur, joueur, en joue, s’amuse des phrases reçues et des situations inventées ou supportées, et tout cela fort heureusement n’a aucune incidence sur la rotation de la planète.
Je vous invite à lire ici le reste de l’article consacré aux recueils de mes colocataires d’édition, voire grandes sœurs, Marlène Tissot, Hélène Dassavray et Mireille Disdero.
Je suis revenu du salon « Les beaux jours de la petite édition » à Cadenet (qui avait lieu ce week-end) avec tout ça
Une belle pile de livres à ranger sur mon actuelle pile des livres en cours ou qui m’attendent à savoir la bio d’Ezra Pound et le Comment lire de ce dernier, La Dernière fête de Gil Scott-Heron, le Tais-toi ou meurs de Mark Oliver Everett (le chanteur de Eels), Rap indépendant de Sylvain Berthot, Pimp de Iceberg Slim, le dernier numéro de la revue Ouste, celui de la revue Muscle, aux dernières ficelles, il doit aussi y avoir un Christian Bobin et un Kateb Yacine qui se baladent là-dedans, mon Dieu quand aurais-je le temps de relire Septentrion ?