Revue Tantôt n°9

🍁 NOUVELLE PUBLICATION 🍁
Novembre 2025. Cette semaine paraît en librairie au Québec, le tout nouveau numéro de la revue TANTÔT aux éditions L’Oie de Cravan. Elle accueille en ses pages un de mes textes inédits.
Je suis très heureux car c’est une magnifique revue publiée dans une ville de cœur, Montréal. Le lancement de la revue a lieu ce soir à l’occasion des 33 ans des éditions L’Oie de Cravan.
Le numéro est illustré par Beyon Wren Moor (son Insta)
Un grand merci à Jonas Fortier, Shawn Cotton et Hermine Ortega, l’équipe de la revue TANTÔT.
Retrouver les numéros de la revue sur le site des éditions > ici.

Desexister de Sarah Masson

J’ai l’honneur de préfacer le premier recueil de poésie de Sarah Masson. C’est sorti en septembre chez les éditions du Carnet du dessert de lune et disponible dans toutes les librairies. Belle vie à ce livre et au projet scénique qui se prépare à partir du texte.

culture

Bienvenue à la revue Gotham. N°1, 2025

Franck Lao, Lettre à mes enfants, revue Gotham

 

 

 

Réédition vinyle de O.S.T. de People Under The Stairs.

Probablement l’album que j’ai le plus écouté durant l’été 2002.
Groupe de cœur. Album de cœur. Un de mes essentiels.

 

Belle réédition de cet EP de De La Soul. EP contenant le titre « Sh.Fe.Mc’s » feat. A Tribe Called Quest

Drink Champs feat. Alchemist et Erykah Badu, TOP 5 podcast.

NOIR – Zacke 🎤🎤🎤🎤🎤

Je m’intéresse au hip hop suédois depuis le début des années 2000. L’année dernière j’ai découvert l’album NOIR de Zacke, qui vient d’une ville du nord de la Suède, Umeå. Alors j’ai profité de mon passage à Göteborg cet été pour retourner dans mon magasin de disques préféré – Bengans – et me le prendre. NOIR est un album dont j’ai pas encore déchiffré toutes les paroles mais j’entends déjà que c’est un bijou musical. Nostalgique et mélodique. Un orteil pop. En circuit court. Du rap connecté au terrain, cultures et artistes du Norrbotten (la région la plus au nord). Un disque qui à sa façon lutte contre l’exotisation du Grand Nord et des réalités de celles et ceux qui y habitent. Un album avec aussi plein de samples et références à des morceaux classiques, et c’est ça qu’on aime. Dans « Håll i er » on reconnaît les notes rejouées du sample de Fu-Gee-La des Fugees (qui est une version de Ramsey Lewis du titre « If Loving You Is Wrong, I Don’t Want to Be Right »). Les chœurs du magnifique « Tripoli » chantent la mélodie de « Pavane » du compositeur Gabriel Fauré (19e) qu’avait déjà samplé Xzibit dans son premier hit underground « Paparazzi » (1996). Et c’est la voix du tout jeune Kerry James qui fait le refrain de « Malariaviken » – un sample de ‘La vie est brutale », premier EP d’Ideal J (Idéal Jeunesse, 1992). Dans « Malariaviken » il y a aussi un très beau couplet de la chanteuse Annika Norlin. C’est en voyant sa participation que je me suis intéressé à cet album. J’écoute la musique d’Annika Norlin depuis 2008 avec son premier album sous le nom de Hello Saferide – une perle indie folk pop (Annika Norlin est aussi autrice ; son roman La Colonie vient de paraître en français aux éditions La Peuplade). L’avant-dernier titre, « Nathalie », est une sorte de posse cut, avec la participation de plusieurs artistes dont des poètes et poétesses spoken word. -> @zackemusik

août 2025

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

TENIR ! Vendredi 6 juin 2025

Vendredi 6 juin | 19h00
TENIR !
Si les indés du livre pouvaient se donner la main

La mainmise croissante de quelques milliardaires d’extrême-droite sur les secteurs du livre et des médias en France mettent en difficulté beaucoup de choses qu’on aime.

La littérature, la démocratie, la paix : autant de choses qui n’existent que tant qu’on les pratique. Et qu’on les défend.
Dans ce contexte, comment faire exister un réseau de création libre, indépendante et humaniste ?

Poètes, libraires, éditeur-ices, lecteur-ices, on débarque le 6 juin, le temps d’une soirée, pour échanger sur la situation actuelle, croiser les réseaux et les initiatives, fédérer les énergies, lutter contre le découragement. Une lutte, en somme, qui sera aussi une fête.

Le 6 juin donc, on lira de la poésie, on boira des coups et on inventera ce que pourra, demain, être un réseau de pros du livre indépendant, humaniste et antifasciste.
Inspirée du mouvement de boycott Désarmer Bolloré, cette soirée sera également l’occasion de proposer des livres issus de circuits indépendants, et de participer au lancement de l’ouvrage collectif « Débordons Bolloré ».

REPAS DE FAMILLE 19 JUIN 2025

REPAS DE FAMILLE
une performance littéraire d’Emanuel Campo & Grégoire Damon

JEUDI 19 JUIN 2025
librairie La Voie aux chapitres
4 Rue Saint-Jérôme, 69007 Lyon

 

 

En février, j’ai été sollicité par la délégation de l’information du Ministère de la Culture pour répondre à quelques questions sur la poésie et ses publics dans le cadre d’une invitation au Printemps des poètes. Cet article, en ligne sur le blog du Ministère, met aussi en lumière d’autres initiatives et parcours. 

J’ai envie de préciser certains points que j’ai pu aborder, et d’autres qui n’ont pas pu être retenus.

D’abord, un constat partagé : la scène poétique actuelle est prête pour plus de présence dans les programmations, au-delà des festivals littéraires. Les lectures musicales et autres performances scéniques créées par bon nombre de poètes et poétesses depuis des années vont trouver une place de plus en plus régulière dans les salles de spectacle et les salles de concert. 

C’est mon souhait, et celui partagé par celles et ceux (poètes, poétesses, artistes, responsables de festivals…) qui travaillent en ce sens : structurer un véritable réseau de production et de diffusion de ces formes hybrides, celles créées et portées par les poètes et poétesses à partir de leurs textes édités ou non.

On m’a aussi interrogé sur la fréquentation des événements de poésie. J’ai alors rappelé que la médiation culturelle doit être considérée en même temps que la programmation et du choix des lieux des événements, et non pas servir de simple soutien aux actions de communication. Développer une pensée et une vision ainsi qu’une politique de médiation culturelle sont les facteurs de réussite pour qu’un événement de poésie rencontre un public plus large. Elle peut aussi être un vecteur de création et de transmission, à condition d’avoir les moyens… Un sujet qui actuellement mérite toute notre vigilance.

extraits d’un entretien à propos des lectures musicales et de médiation que j’ai donné à Guillaume Richez pour le blog Les Imposteurs en avril 2022. Lire l’article en entier ici.

La lecture musicale est une proposition artistique en soi. C’est juste autre chose. L’auteur d’un texte propose son écriture. Lorsqu’il lit ou déclame son texte, il rajoute une nouvelle écriture, celle de l’interprétation ; puis s’ajoute celle de la mise en scène, puis celle de la musique… Le texte n’est plus l’unique élément, c’est tout. C’est agréable de danser et de remuer la tête. On a aussi un corps. Un festival n’est pas là pour reproduire le coin lecture de notre bibliothèque ou nous faire revivre nos sensations de lectures silencieuses le soir avant d’aller dormir.

Voir dans les programmations actuelles davantage de lectures musicales aujourd’hui, c’est l’évolution naturelle de nos pratiques culturelles et artistiques. La pluridisciplinarité est une norme. C’est la réalité même des arts vivants contemporains. Aujourd’hui, il y a mille manières de recevoir des œuvres, d’en fabriquer, de pratiquer des disciplines, de proposer de l’art. Ajoutons à cela que la société numérique rend tout cela visible à l’excès, ce qui crée sans doute un « effet de mode ». Y a des gens qui viennent à l’écriture par le biais de la musique, d’autres de la scène, d’autres de la rue, d’autres par les arts numériques… La poésie c’est pas une politique d’assimilation, donc chacun propose une forme qui découle de son parcours artistique.

Aujourd’hui, quand t’es programmateur, t’es forcément habité par toute cette contemporanéité, par toutes ces différentes formes d’art qui animent notre quotidien, alors c’est normal de proposer des formes différentes pour nourrir son festival. Et ce n’est pas céder à la facilité que de s’intéresser à la musique. Je trouve ça au contraire plus facile de se conforter dans des formes habituelles maintes et maintes fois éprouvées dans le temps.

Je pense que c’est malin de multiplier les formes et propositions car cela crée une diversité, et donc de la pensée, et donc favorise la présence de divers publics. Plus il y aura de lectures musicales, plus il en découlera une exigence. D’autres projets et vocations scéniques naîtront. Car le but, quand on propose une forme publique (une lecture, un spectacle…), c’est de ne pas oublier le public. On n’organise pas un événement pour les artistes, on l’organise pour la population, pour passer un moment convivial et exigeant. En assistant à une lecture musicale, je ne cherche pas forcément à y trouver LA poésie, ou à revivre mes impressions de lecteur. C’est du spectacle vivant. Je sors de chez moi, je me déplace pour passer un moment divertissant et rencontrer du monde, et me faire bousculer par des artistes dont j’achète des livres pour — parfois — rencontrer la poésie, seul, plus tard, tranquillement chez moi.

[…]

Echanger avec des personnes averties va te faire progresser sur tel ou tel aspect. Je suis forcément tiré vers le haut par des personnes plus initiées ou pointues que moi. Mais en vrai, le plus important, c’est la vie. On n’est heureusement pas entourés sept jours sur sept par les abonnés à la poésie. Les retours les plus importants sont de celles et de ceux qui te disent qu’ils ont tiré quelque chose de ta lecture alors qu’ils ne s’attendaient pas à ce qu’ils ont entendu. Ça veut dire que t’as bien bossé. Il faut lire pour tout le monde, pas seulement pour les trois personnes qui auront compris ton name-dropping. Le sujet c’est comment créer un événement ou écrire sans dominer l’autre, sans être intimidant.

Si de nouveaux spectateurs non-acquis à la cause sont au rendez-vous, c’est plus une victoire pour l’organisateur que pour moi. En tant qu’auteur, je ne travaille pas pour être accessible et pour plaire. Je travaille pour être précis et montrer ce qui me plaît.

Les festivals et les structures de poésie sont des médiateurs. C’est à eux de permettre l’accès. Ce n’est pas à la poésie d’être accessible ou aux auteurs d’écrire de la poésie accessible. J’entends régulièrement la notion de « poésie accessible ». Je trouve que ce terme efface les notions d’esthétique et de choix artistiques. Une poésie ne doit pas être plus valorisée qu’une autre par sa capacité à rassembler ou à être accessible. Elle doit être décrite en fonction de ce qu’on voit des choix artistiques pensés par l’auteur. L’accessibilité est plus une question culturelle et sociologique qu’une question artistique. Si on se limite à programmer ou à chroniquer majoritairement de la poésie maladroitement qualifiée « d’accessible », on ne se limite à parler qu’à un cercle de personnes ayant les mêmes références culturelles ; on risque de marginaliser des écritures plus complexes ou différentes, celles-là-même qui participent à nourrir en amont le reste des écritures d’aujourd’hui. Alors oui pour lire devant tous les publics, mais pas en défaveur de formes artistiques plus déroutantes, aventureuses ou exigeantes. Tout peut cohabiter si on a les moyens et les compétences en médiation.

À titre personnel, j‘aimerais qu’on arrive à ce que le secteur de la poésie se structure et s’institutionnalise davantage pour penser plus loin ces questions. J’entends par là qu’il devienne plus professionnel et doté de moyens de production, de diffusion et de développement, afin de penser le développement des publics et la médiation. Il ne suffit pas d’avoir de bonnes propositions artistiques pour qu’artistes et publics se rencontrent. Actuellement, on a le principal : puisqu’on ne fait pas carrière en poésie, on est entre passionnés. On apprend sur le tas, on fait comme on peut, on cumule les casquettes, on monte nos associations. Mais le manque de moyens et la non professionnalisation font qu’il nous manque certaines compétences et métiers. Auteurs, éditeurs, libraires, festivals, maisons de la poésie, agences du livre… il existe entre tout ça pléthore de métiers qui comptent dans le développement médiatique d’une discipline. Je pense à la façon de concevoir et de penser l’action culturelle et la communication. Aujourd’hui, on souffre d’une réalité structurelle qui fait que ces missions sont tenues par des mi-temps ou des personnes qui cumulent plusieurs postes, ou par des jeunes en début de carrière qui manquent parfois d’expérience sur ces questions. Une pensée d’action culturelle exigeante existe, des professionnels peuvent être formés à ces questions comme dans le milieu du théâtre, mais on manque de moyens : ce n’est pas la ligne budgétaire qu’on flèche en premier car il y a d’autres priorités pour qu’une structure fonctionne un minimum.

Une lecture en public, une rencontre avec un auteur, un atelier de création ou un atelier d’expression, un festival n’ont pas les mêmes fonctions et ne découlent pas des mêmes problématiques. Ça se pense, autant avec les artistes qu’avec les personnes compétentes. On ne peut pas impunément envoyer les artistes au charbon dans l’espoir de sauver la culture et d’intéresser davantage les gens à la poésie.

La Perle du cratère

C’était le 29 mars 2025
Soirée La Perle du cratère
dans le cadre du Printemps des Poètes
à la Perle, ferme de poésie pulsée
https://la-perle.org/
Les photos sont de Hope Curran Lundblad 

Guide Poétique des Grésilles (Dijon, 2024)

Je suis très heureux de partager ce projet phare de 2024. Voici une invitation à contempler autrement nos espaces urbains car nous entretenons des liens affectifs et sensibles avec les lieux que l’on traverse. L’association dijonnaise De Bas Etages, nous a invité, Marion Chobert et moi, à mener cette année une résidence dans le quartier des Grésilles à Dijon pour y rencontrer des habitantes et habitants dans le but de réaliser un livre. Ensemble, avec la complicité de la graphiste et illustratrice Elsa Moreau, nous avons conçu un guide poétique du quartier, coécrit avec celles et ceux qui y habitent. Ce guide propose une balade dans le quartier. À chaque étape, le livre invite le lecteur-promeneur à contempler, à lire, à écrire…. Certains textes ont été écrits dans les lieux-mêmes auxquels ils se rapportent. Une cinquantaine d’habitantes et d’habitants du quartier des Grésilles à Dijon ont contribué à ce projet. Le guide sera prochainement entre les mains de ses autrices et auteurs, puis diffusé gratuitement auprès des lieux partenaires aux Grésilles.
Un grand merci à Elsa Moreau et Aurélie Cognard à la production chez De Bas Étages, et à ma complice Marion Chobert.
UN PROJET DE L’ASSOCIATION DE BAS ÉTAGES
EN PARTENARIAT AVEC LA COMPAGNIE LA MULTIPLE
DIRECTION ARTISTIQUE ET ÉDITORIALE DE EMANUEL CAMPO ET MARION CHOBERT
CRÉATION GRAPHIQUE ET ILLUSTRATIONS PAR ELSA MOREAU
CARTOGRAPHIE SENSIBLE ET COORDINATION DU PROJET MENÉE PAR AURÉLIE COGNARD, ELSA MOREAU ET MAXIME DELOMPRÉ

Tennos

La vitesse foudroyante du café
Le geste commercial du serveur
La table bancale de la terrasse

L’emballage déchiqueté de la buchette de sucre
La langueur excitée des retrouvailles
Le retard exagéré des trains

La vérité impitoyable de l’incertain
Le chemin inévitable de la pensée
L’immobilité efficace de l’impossible
La lenteur lucide de l’impeccable

Les prédictions incohérentes de l’algorithme
L’archéologie épatante du présent
L’attente habituelle à l’arrivée
L’aspect compromis du plan A

(extrait de Auberge de jeunesse, inédit 2024)

 

03.10.2024 LYON / Carte Blanche à la Bibliothèque du 4e

♦️ CARTE BLANCHE POÉSIE ♦️

Au plaisir de vous retrouver jeudi 03 octobre à la bibliothèque municipale du 4e à Lyon qui m’offre une carte banche.
L’occasion pour moi d’ouvrir mes fichiers et de vous présenter des textes inédits issus de deux recueils, l’un inédit, l’autre en cours d’écriture. Une sorte de cahier-chantier ouvert pour oreilles attentives. Je vous attends.

03.10.2024 | 18h30 | Gratuit | Durée : 45 min.
Bibliothèque municipale du 4e à Lyon Croix-Rousse
12 bis rue de Cuire, 69004 Lyon
Réservations :  04 72 10 65 40 – bm@bm-lyon.fr

Mes livres dans le catalogue des bibliothèques municipales de Lyon

Filles bouchères & Garçons bouchers

Je participe avec deux poèmes inédits à l’anthologie Filles bouchères & Garçons bouchers, anthologie de poésie délicate pour lecteurs carnivores et végétariens établie par Antoine Gallardo pour les dix ans des éditions.

COMMANDER > placedeslibraires.fr
Tirage : 1000 exemplaires
Nombre de pages : 102
I.S.B.N. : 979-10-96861-19-4
Format fermé : 110 x 170 mm
Façonnage : Dos carré collé
Impression : Numérique
Prix public : 20 €
http://laboucherielitteraire.eklablog.fr

Serveur Vocal Poétique / INCARNER

Un nouveau poème REMERCIE TA TÊTE vient de paraître dans l’anthologie INCARNER, 30 POÈMES POUR DIRE LE CORPS aux éditions La Chouette Imprévue (5€ sur www.lachouetteimprevue.com/)
Il est issu de l’édition 2024 du SERVEUR VOCAL POETIQUE projet réalisé par Julien Bucci et la compagnie Home Théâtre. + Infos ➝ www.hometheatre.fr
30 autrices et auteurs ont écrit 30 poèmes à écouter jour et nuit sur deux lignes téléphoniques gratuites :
– le 03.74.09.03.00 depuis la 🇫🇷
– le 02.315.44.44 depuis la 🇧🇪

Mon texte REMERCIE TA TÊTE est à écouter tiroir 1 / touche 6.

Cette nouvelle version du Serveur Vocal Poétique, marrainée par Lisette Lombé comprend des poèmes de Johan Grzelczyk, Cécile Coulon, Victor Malzac, Orianne Papin, Anna Serra, Selim-a Atallah Chettaoui, Emanuel Campo, Ramiro Oviedo, Cartographie Messyl, Murièle Modély, Rim Battal, Christophe Dekerpel, Coline Marescaux, Perrine Le Querrec, Lisette Lombé, Camille Bloomfield, Zoé Besmond de Senneville, Lucien Brelok, Emilie Gévart, Sébastien Kwiek, Jérémie Tholomé, Kiyémis, Florentine Rey, Theo J. Mayer, Mélanie Leblanc, Laurence Vielle, Julien Bucci, Charles Pennequin, Julia Nobbio, Ananda Brizzi

…lus par les auteurs.trices et par Carole Le Sone, Ann Gisel Glass, Julien Bucci, Violette Blanckaert, Elodie Laurent, Léna Tournier Bernard et Eric Ruf, de la Comédie Française.

Grâce… Livre des heures poétiques (éd. Bruno Doucey)

Un poème inédit paraît dans la nouvelle anthologie Grâce… Livre des heures poétiques aux éditions Bruno Doucey. Je tiens à remercier Thierry Renard et Bruno Doucey de m’avoir invité à participer à cette anthologie. J’y publie un texte écrit il y a deux ans, extrait de ce qui deviendra peut-être un futur livre: Maison 2.

Infos et commande ici.
118 poètes et poétesses.
Pages : 272. Prix : 20,00€.
ISBN : 978-2-36229-464-8

Bilan 2023

2023 fut riche en partenariats. Je remercie

ma maison, la compagnie Étrange Playground, ses adhérentes et adhérents qui m’accompagnent et me portent depuis 13 ans dans mes projets artistiques et les projets collaboratifs.

mes éditeurs, Antoine Gallardo de la Boucherie Littéraire, Yves Artufel de Gros Textes.

Merci aux partenaires qui m’ont accueilli cette année :
la Factorie – Maison de poésie en Normandie (Val-de-Reuil), la Maison Rousseau et littérature (Genève), le CiPM (Marseille), l’Office des Transports Poétik (Grenoble), l’Espace Pandora (Vénissieux), le Salon du livre de Genève, la librairie Au Bord du jour (Voiron), la Médiathèque Philippe Vial (Voiron), le festival Expoésie (Périgueux), la Médiathèque Albert Camus (Antibes), le Printemps des Poètes (Paris), l’Institut des métiers (Clermont-Ferrand), la Minoterie – pôle de création jeune public et d’éducation artistique (Dijon), les Médiatèques du roannais (Roanne).

 

Lecture-concert avec Eric Pifeteau

Merci à Eric de pulser mes poèmes à la batterie.
Prochaine date : 18 janvier 2024 à l’Athénéum à Dijon. Infos.

 

Musique avec PapierBruit

2 sorties cette année. Merci à mon partenaire Julien Liard aka Eskimo J.
🎧 SPECTRE (écouter)
🎧 FOCUS2015 (écouter) mini-compilation de 3 titres que nous avons composés et enregistrés autour de 2015
🎧 NOUVEAU TITRE LE 12.01.2024

 

Théâtre

Merci à Estelle Dumortier fondatrice de l’association La Traversante (Rillieux-La-Pape), Marion Piqué et Julie Romeuf avec qui je travaille sur les créations théâtrales « Lieux-Dits ».

Merci à Muriel Carpentier initiatrice de la compagne Abysses avec laquelle je travaille sur une création en cours, « BRÛLE ».

Publications 2023

Un poème inédit dans Montagnes, chemins d’écritures, anthologie constituée par Jean-Pierre Chambon. Merci à lui ainsi qu’aux éditions Voix d’encre, 2023. Site & commande

– Un poème inédit dans la revue Ouste n°31 (2023). Site. Merci à Féroce Marquise et à Dernier Télégramme.

Revue de presse livre

Merci à Lancelot Roumier pour son article à propos de mon recueil Maison. Poésies domestiques (éd. la Boucherie littéraire) sur son blog ➡️ exopoesie.blogspot.com

Sleeping Heart, 2017. Annette Messager, Galerie Marian Goodman. Musée des Confluences, Lyon.

Ma sortie de résidence à la Factorie en vidéo

C’était le 21 décembre 2023. Photo : Tom Buron.
Retour en vidéo de ma sortie de résidence à La Factorie – Maison de poésie en Normandie.
Un grand merci à l’équipe de la Factorie pour son accueil et son soutien.


Salutations à Sarah Masson, Ahlem Ghayaza, Adeline Miermont-Giustinati, Tom Buron et Fred Aubin.

Site internet de la Factorie https://www.factorie.fr/