► P.O.D.C.A.S.T – La poésie débouche sur Radio Canut

Où je parle de la genèse de mon nouveau recueil Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait (éd. Gros Textes), où je lis quelques inédits, où je lis mon recueil culte de poésie de Dan Fante, où je lis Louis Calaferte (éd. Tarabuste) et Jean-Pierre Georges (éd. Les Carnets du dessert de lune), où j’ai la chance de passer des musiques que j’aime… Mon passage dans l’émission La Poésie débouche sur Radio Canut est désormais en ligne.

https://blogs.radiocanut.org/lapoesiedebouche/
https://audioblog.arteradio.com/blog/98417/podcast/126187

► P.O.D.C.A.S.T – La poésie débouche – Emanuel Campo
* Textes
Zéno Bianu « Le désespoir n’existe pas »
Dan Fante « Bons baisers de la grosse barmaid »
Louis Calaferte « Fac-similé »
Jean-Pierre Georges « Le moi chronique »
* Musiques
Gerald Toto Richard Bona Lokua Kanza « Lisanga »
Damso « 60 années »
Odezenne « Souffle le vent »
M.I.L.K « Following the sun »
* Anne de Boissy lit Denise Desautel

La poésie débouche vendredi 12 octobre

Ce vendredi 12 octobre 2018 je serai l’invité de ○ LA POÉSIE DÉBOUCHE ○ l’excellente émission de Carole Bijou diffusée sur Radio Canut de 15h à 16h.

à écouter en direct à Lyon sur 102.2FM
à écouter en direct sur Internet sur https://radiocanut.org/
à écouter plus tard en podcast sur https://blogs.radiocanut.org/lapoesiedebouche/

Le blog de Carole Bijou https://carolebijou.wordpress.com/

 

 

Poésie en Matheysine 2018 à Notre Dame de Vaulx

Je suis invité à lire ce samedi 6 octobre lors de Poésie en Matheysine à Notre Dame de Vaulx. J’aurai le plaisir de partager le micro avec Katia Bouchoueva. C’est la première fois qu’on lira ensemble, chacun nos textes, alors qu’on se connaît depuis 10 ans. Programme et bios des invités : http://avaulxprojets.fr/ – 04 76 81 18 52 ou avaulxprojets@gmail.com

 

Heptanes Fraxion – Il ne se passe rien mais je ne m’ennuie pas (éd. Cormor en nuptial)

Nous sommes quelques uns / nombreux à avoir espéré un jour tenir dans nos mains un livre d’Heptanes Fraxion. Aujourd’hui, le poète au blog de textes blancs sur noir publie son premier livre à compte d’éditeur Il ne se passe rien mais je ne m’ennuie pas chez Cormor en nuptial (Belgique).

Bravo à l’éditeur pour ses choix de fabrication. L’objet est beau, le papier offre un confort de lecture remarquable et la couverture a ce petit grain qui pourrait servir à se frotter les peaux mortes. On retrouve ici du Fraxion en concentré comme l’écrit Grégoire Damon dans la postface du livre. Extrait qui m’a arrêté net :

« il y a toujours quelque chose qui se passe dans le ciel
raton-laveur d’étoiles ou bien giboulées de mars en décembre
historiquement personne ne sait grand-chose
alors autant rester disponible au merveilleux

douceur qui transperce
douleur qui transporte
livres qui consolent »

Oui on ne sait pas grand-chose « alors autant rester disponible au merveilleux ». Une phrase qui parle à l’opportuniste en moi. J’évite de blasphémer au cas où j’me sois gouré dans ma vie de pas-trop-croyant-mais-le-chamanisme-m’intrigue. Parce qu’au final, si j’me trompe, j’veux quand même avoir une place là-haut si y’a moyen. « Livres qui consolent ». 16€ à commander à cormorennuptial@gmail.com.

 

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Lire le blog d’Heptanes Fraxion : http://heptanesfraxion.blogspot.com/

Écouter ses albums avec le musicien Jim Floyd : https://soundcloud.com/jim_floyd/albums

2 livres de Rim Battal chez Lanskine

Deux sacrés bons livres de Rim Battal, découverts cet été, publiés aux éditions Lanskine :

Vingt poèmes et des poussières et Latex.
Ne passez pas à côté de ces livres. Achetez-les et lisez-les.
Je ne recopie aucun extrait : j’ai lutté pour choisir un poème mais l’entièreté du texte a gagné.

 

Puis tu googlas le sens du vent… sur Sitaudis.fr

Sitaudis.fr a publié sa version du puzzle de mon nouveau livre Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait publié cet été aux éditions Gros Textes. Merci à l’auteur de l’article François Huglo. Pour lire l’article sur le site c’est par ici.

 

Nofuturisme ? L’incipit, « Au commencement était le vieux », semble répondre à celui de Zone : « Àla fin tu es las de ce monde ancien ». Apollinaire proclamait sa fin, il est toujours là, toujours à la clé, vieux comme le monde. Il donne « l’impression que tout déjà existe, a été écrit ». Pas moyen d’en sortir ni d’y entrer puisqu’on y est. Quant à y circuler, faut avoir les moyens, c’est pas donné : « Sans dieu / ni porte-clés / cherche GPS / d’occasion et plus / si gratuité ». Entrer dans un récit comme dans un rêve, ou le contraire ? « Mon futur rêve-t-il / de moi la nuit ? » Réponse négative : « Je ne vous raconte pas d’histoire. Je ne sais pas en raconter ». Le programme de Manu Campo, « Manu / Manu / M’annuler sous mon nom. / Et prendre le Campo par les cornes. » ne se la joue pas, comme celui de Manu Macron, symphonie du nouveau monde. En marche ? Campo en doute : « Assis, est-il assis le monde tout autour ? / S’écoute-t-il nous raconter des histoires ? » Quand il écrit « encore tisser / tisser partout / j’ai encore tissé partout », on entend pisser. Pourquoi dit-on un branleur, une pisseuse, et pas l’inverse ? Réponse peut-être (Campo n’est pas macho) : « Il en faut des couilles, mais pas forcément tous les jours ». Pas plus de banderoles (elles « ne disent rien sur le monde ») que de banderilles : « Je manque sévèrement, sévèrement de challenge. N’ai personne à vaincre. » Sous le titre, on lit : « Fil d’actualité —Bribes —Chutes ». Et page 10 : « Ton truc, c’est pas un texte, / c’est de l’herpès labial. » Poèmes jetables ? De ceux qu’on oublie, Grégoire Damon (né en 1985, deux ans après Emanuel Campo) le reconnaît dans sa postface, mais pour mieux être retrouvés « un de ces jours où vous vous sentez / non compétitif / inefficace, à côté de la plaque, / seul, minable, absurde. » Poèmes sur feuilles volées, et volantes : « Voler le français à la France pour en faire un cerf-volant ». L’air de rien, ces avions de papier peuvent frôler Lacan : « On appartient. Ça nous échappe. » Ou Verheggen : « Mon oral est au plus bas. » Voire Duchamp : « (Poème du 17 / 05 / 2016) / Source : / Wikipédia. ») Bartleby ? « J’aime beaucoup ce que vous ne faites pas. » Si « je me fais rire trop seul », je ne suis pas le seul. Blues urbain : « Un Opinel délaissé par la polis. La CAF comme confidente, la cafetière comme sablier. Aller au taf comme aller à la danse. Obéir pour s’oublier. Voir dans chaque être humain une minorité. » Les lendemains chantent sans oiseaux : « Un moineau patauge dans une flaque d’huile et d’eau. Y voir une notification nous avertissant qu’aujourd’hui nous participons à un événement : la hausse de la croissance. » Flaque ou miroir (Spiegel, Spiegoogle où sonne le glas ) : « Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait. » Mais il suffit de changer un mot pour remettre en selle « Une personne à mobylette réduite ». François Huglo.

Acheter en ligne le livre.

« Puis tu googlas le sens du vent… » sur Lelitteraire.com

Merci au magazine Lelitteraire.com de suivre mes publications et à Jean-Paul Gavard-Perret pour son article bien « foufou » concernant mon nouveau livre publié aux éditions Gros Textes. A lire sur le site ici ou ci-dessous :

Emanuel Campo, Puis tu googlas le sens de vent pour savoir d’où il venait

In Google we trust / Her­pès pour l’espèce

Emanuel Campo use d’un titre obèse pour un texte have (mais en rien ché­tif) et ce, plu­tôt que de balan­cer du haut d’un buil­ding un maca­dam cow-boy, pour se « jeter dans le vide un regard de per­sienne ». L’auteur refuse de cou­per les hommes en pièce : il seg­mente leur pen­sée en ce qui res­semble à des apho­rismes des plus robo­ra­tifs.
Reste que Campo demeure un de ces rêveurs insom­niaques qui rodent dans les lave­ries auto­ma­tiques quand il devient impos­sible d’aller autre part, le tout pour « M’annuler sous mon nom et prendre le Campo par les cornes ». Manière de se tendre la corde d’une main et de la brû­ler de l’autre dans ce qui devient un fuck-song.

Le livre monte une his­toire de des­cente et de cendres où, pour une fois, ce sont les femmes qui, pour pla­quer leur mec ‚parlent de faire un break tout en dan­sant le hip-hop. Ce qui, chez l’auteur, crée un break-down dans son esqui­mau­tage en gage de sau­ve­tage (sans savoir qui l’on suce). Par­lant, Campo évite le pathos dans ces poèmes-minutes en train et qui n’en manquent pas. N’ayant pas froid aux essieux il s’astique les mots plu­tôt que de tirer sur l’élastique. Au baise-ball et au pénis de table, il pré­fère la fra­grance des mots avant qu’ils se tuent ou se taisent.
C’est ainsi que le poète avance dans un proto-monde pour tenir avec vio­lence, révolte, dou­leur. Le texte en témoigne. Son humour aussi qui est un atten­tat aux bonnes mœurs et à l’amour. Du moins ce qu’il en reste.

jean-paul gavard-perret

Acheter le livre en ligne.

Puis tu googlas le sens du vent… sur « Poésie chronique ta malle »

Le très réactif Patrice Maltaverne publie une chronique consacrée à Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait sur son blog Poésie chronique ta malle (véritable mine consacrée à l’édition de poésie). Il s’agit du premier article à propos de mon nouveau recueil sorti en juillet aux éditions Gros Textes.  Merci à lui de suivre mon travail avec attention.

Retrouver ici, l’article original. Extrait :

Quand j’ai commencé à lire « Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait », deuxième recueil d’Emanuel Campo, publié par les Éditions Gros Textes, je me suis d’abord demandé si je lisais une suite de phrases sans rapport les unes avec les autres, ou bien, un récit en pièces détachées.
Ah ! Toujours cette envie de classification, alors que c’est le texte qui devrait seul compter.
Confirmation faite au fil des pages, et dans la postface de Grégoire Damon, c’est bien de fragments qu’il s’agit ici. Sauf que deux ou trois fois, les fragments s’étirent sur plus d’une page.
Il y a des pépites là-dedans, aucun doute là-dessus. Souvent, des jeux de mots, avec dans une expression déjà connue par ailleurs, un changement de mot qui change la saveur des mots. Par exemple, dans « une personne à mobylette réduite ».
De manière générale, j’ai beaucoup aimé ce regard affiné jeté sur notre monde actuel. C’est bien de lui qu’il s’agit, ici. Car pas facile, hein, d’en parler, tellement la vie des villes l’a rendu divers et sans conséquences. Quelque chose de très nul, en tout cas, quelque chose dont on voudrait toujours avoir la clé, alors qu’elle n’existe pas. Ou bien, avec sa clé, on ouvre une seule petite porte, bien insignifiante. Déjà mieux que rien, me direz-vous.

Et puis d’abord, pas la peine d’en mettre des tartines sur un monde qui s’oublie vite.C’est ce que montre Emanuel Campo, dans « Puis tu googlas le sens du vent pours avoir d’où il venait » (un de ses fragments qui donne le titre au recueil, ça c’est du titre !).

Si vous souhaitez en savoir plus sur « Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait », d’Emanuel Campo, qui est vendu au prix de 6 €, rendez-vous sur le site de l’éditeur: https://grostextes.fr/publication/puis-tu-googlas-le-sens-du-vent/

 

Burn out

Hypnotisé par le barbecue,
je réponds aux braises par un silence tartare.
Je songe aux tâches à faire avant demain. Soudain,
la-viande-la viande-la-viande me lance-t-elle ça-crame.
Je reconnecte avec moi-même, embué, dans un nuage noir d’urgences immédiates.
Il s’agit dans un premier temps de sauver les chipolatas
pour vite nourrir les enfants qui s’impatientent.
Les merguez n’ont plus rien à dégorger. Elles se tordent de douleurs.
Mon réflexe : verser ma bière dans le feu. Quel trou de balle entends-je derrière moi.
Une goutte a juste le temps de perler sur la pente des ribs de porc
avant de s’évaporer comme la meilleure de mes idées.
La viande n’est toujours pas sauvée.
Pour agir, j’ai besoin de la musique appropriée
afin d’accentuer la tension dramatique du moment.
De la main droite, je saisis mon téléphone, fouille ma playlist,
tout le monde me crie T’es con, occupe-toi de la bouffe,
de l’autre je manipule notre repas avec la spatule.
Putain !
Sur les premières notes de ma chanson
ma poitrine se gonfle
je me sens attirant
et audacieux. Je danse,
la spatule toujours à la main.
Alors que je suis sur le point de retirer du feu les dernières pièces de viande
je renonce finalement au sauvetage.
Je lâche la spatule
– les convives me regardent estomaqués –
et jette mon téléphone par-delà la haie des voisins
qui depuis ce matin nous surveillent derrière leurs stores.
Enfin, je me tourne
lentement
vers la piscine où patauge la belle-fille de Machin.
Sur moi leurs yeux. La musique me porte. Un pas
en arrière, je prends mon élan par les cornes-et-me-précipite-vers-la-piscine-en-courant-et
saute
tout habillé, en riant fort,
en faisant la bombe.

_ _

E.C. juillet 2018

Des ébauches à l’illustration finale

Des premières ébauches à l’illustration finale de Mathilde Campo.

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Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait de Emanuel Campo, 2018
Postface de Grégoire Damon
ISBN : 978-2-35082-376-8
56 pages au format 10 x 15,
6 € (+ 1 € de forfait port – quel que soit le nombre d’exemplaires commandés)

Pour obtenir votre exemplaire, veuillez adresser votre commande à
Gros Textes
Fontfourane
05380 Châteauroux-les-Alpes
(Chèques à l’ordre de Gros Textes)
Le site de l’éditeur : https://sites.google.com/site/grostextes/

A Tribe Called Quest – The Space Program

A Tribe Called Quest, mon groupe préféré, a publié cette année ce qui sera le dernier clip de l’histoire du groupe. The Space Program ouvre leur ultime album « We got it from Here… Thank You 4 Your service » sorti fin 2016. Au revoir. Merci. C’était génial ce bout de temps ensemble.

Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait / Extraits 2

Extraits :

« Les identités s’émiettent pour nourrir les
pigeons. Même l’air devient un uniforme. Un
quartier aux ruelles délassées puis un mec qui
trébuche. Un Opinel délaissé par la polis. La
CAF comme confidente, la cafetière comme
sablier. Aller au taf comme aller à la danse.
Obéir pour s’oublier. Voir dans chaque être
humain une minorité. »

***

« Nos identités ont des arbalètes qu’il faut
regarder en face. Accueillir la flèche car on se
trompe bien souvent d’invasion. Saigner de joie
car les blessures sont apatrides. Le corps est un
territoire à ne pas forcer. Il rétrécit facilement
de l’intérieur. Quand c’est trop tard on vieillit
seul derrière le judas de sa porte. »

 

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Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait de Emanuel Campo, 2018
ISBN : 978-2-35082-376-8
56  pages au format 10 x 15,
6 € (+ 1 € de forfait port – quel que soit le nombre d’exemplaires commandés)

Pour obtenir votre exemplaire, veuillez adresser votre commande à
Gros Textes
Fontfourane
05380 Châteauroux-les-Alpes
(Chèques à l’ordre de Gros Textes)
Le site de l’éditeur : https://sites.google.com/site/grostextes/

 

Ligne de défense

À l’intérieur,
un doigt d’honneur pour seule ligne de défense.
Le planisphère nervuré dans mon poing,
serré.
Dehors ça crame, parfois je m’en balance.
Pense
qu’à ma gueule. Action facile et bienfaisante.
Pense qu’à ma gueule, pense qu’à ma gueule :
le nouveau tube de mes vacances.
Le sol est chaud et la Terre est ronde,
rien de neuf sous les poutrelles du monde.
Les ondes
annoncent des bouchons à l’entrée de nos organes vitaux.
Sortons de l’autoroute et visitons cette abbaye dont parlait le vieux.
Les mecs savaient y faire. Que de monuments.
Cette entité qu’on appelle « 2018 », c’est du papier mâché à côté.
Mais quelque chose, en nous ou en dehors,
fait tout de même de nous,
des femmes et des hommes.

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E.C., 11/07/18

Dialogue

— Je savais pas que t’écrivais.

— Ça m’arrive aussi de faire des pâtes.

— C’est dingue.

— À la sauce tomate.

— Et t’arrives à en vivre ?

— Seulement si la cuisson ne dépasse pas 9 minutes.

— Ça alors. Moi, j’écrivais à la fac, je n’arrêtais pas. Mais après, tu sais comment c’est, l’orientation tout ça. C’est génial de pouvoir vivre de sa passion.

— Faut bien manger.

Avis de parution – « Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait » aux éditions Gros Textes

Avis de parution

Mon deuxième recueil vient de paraître aux éditions Gros Textes.
Puis tu googlas le sens du vent pour savoir d’où il venait est un fil d’actualité poétique,
un long texte composé de pleins de courts textes.

L’illustration de couverture est de Mathilde Campo.
La postface est signée Grégoire Damon.
Autant dire que j’ai l’impression de faire sa première partie.

Oui, j’ai beaucoup de chance de les avoir avec moi dans ce livre. Qu’ils soient tous deux remerciés.

Je remercie enfin Yves Artufel, des éditions Gros Textes, de faire exister ce recueil ailleurs que
chez moi.

 

Extrait de la postface de Grégoire Damon :
Vous vous habituiez à un petit monde bizarre mais familier, pratique et pas cher, vite lu, vite liké. Et voilà que c’est la condition humaine, bien raide bien grumeleuse, qui vous tombe dessus. La condition humaine. Son tragique mou, quotidien, confortable. Contaminant jusqu’à la moelle du plus pur des jeux de mots pourris :
« Quand elle m’a dit vouloir faire un break
j’ai d’abord cru
qu’elle se mettait à la danse hip-hop. »

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ISBN : 978-2-35082-376-8
56  pages au format 10 x 15,
6 €

Acheter en ligne votre exemplaire sur le site des éditions Gros Textes.

Revue la Terrasse n°3

Plusieurs pages pour rentrer dans l’univers d’un auteur…
Joie de se retrouver dans ce casting…
Revue cousue et brûlée à la main…
Belles illustrations d’Alissa Thor…
Je suis bien content d’être dans cette revue tenue par Fabien Drouet
8e (+4e de frais de port) à commander à revuelaterrasse@gmail.com
Page Facebook de la revue